Piercing au nez, cheveux longtemps libérés du joug des défrisants, pantalon panthère, Pascale Solages pourrait facilement incarner Assata Shakur dans un biopic. À quelques jours de la troisième édition du festival « Nègès Mawon », des sentiments s’entrechoquent dans son mental. « Je suis, dit-elle, à la fois satisfaite qu’on aborde une troisième édition d’une activité qui est en mal de financement ; perplexe par rapport aux imprévus indépendantes qui pourraient nous obliger à le reporter une fois de plus comme c’était le cas avec les incidents du début de juillet ; et finalement excitée à l’idée de rencontrer le public qui a des attentes ».
>>> Lire Plus